Au chapitre salarial, un rattrapage était nécessaire pour atteindre la rémunération versée dans les villes de taille comparable à Mont-Joli. L’augmentation atteint un peu plus de 14 % sur cinq ans, soit 2,8 % en moyenne par année.
De plus, les pompières et pompiers bénéficient de conditions de travail bonifiées, notamment au chapitre opérationnel, ce qui permet du même coup d’assurer un niveau de services aux citoyens amélioré.
« Les négociations amorcées en début d’année se sont déroulées dans un bon climat de travail. La Ville et le Syndicat ont démontré leur volonté d’en arriver à une entente satisfaisante pour les deux parties. Cette première convention collective respecte le cadre financier et le mandat donné par le conseil municipal » souligne en outre le maire de Mont-Joli, monsieur Martin Soucy.
Le président du Syndicat des pompiers et des pompières du Québec, section locale Mont-Joli, monsieur Olivier Harton, s’est dit satisfait de cette première convention collective. « La négociation nous a permis d’effectuer un rattrapage salarial et de faire des gains au chapitre de nos conditions de travail. C’est ce que nous réclamions depuis plusieurs années » conclut M. Harton.
Photo : Assis : Mathieu Morissette, trésosier du Syndicat des pompières et pompiers du Québec – section locale Mont-Joli, Olivier Harton, président, le maire Martin Soucy, Joël Harrisson, directeur général de la Ville de Mont-Joli. Debout : Antoine Pigeon, pompier, Gilles Lavoie, conseiller municipal responsable des ressources humaines, Robin Guy, conseiller municipal de la sécurité incendie, Paul Martineau, chef de division, opérations et prévention, et Robert Roger, directeur du service de sécurité incendie de la Ville de Mont-Joli.
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