Le rapport financier

Plus en détail, les états financiers au 31 décembre 2020 indiquent des revenus de fonctionnement de 14 107 621 $ et des revenus d’investissement de 14 299 385 $ (subventions), ce qui a généré des revenus totaux de 28 407 006 $ pour cet exercice financier.

Les différentes dépenses de la Ville  ont totalisé 12 385 072 $. En tenant compte des différents éléments de conciliation à des fins fiscales (amortissement, financement à long terme, remboursement de la dette, affectation, etc.) la Ville a réalisé en 2020 un excédent de fonctionnement à des fins fiscales de 709 826 $.

À la même date, la Ville possédait un excédent accumulé non affecté de 1 541 580 $ lequel inclut l’excédent de l’exercice 2020.

Les principaux investissements réalisés en 2020 sont les suivants :

  • Travaux de réfection de voirie sur l’Avenue Sanatorium : 5 360 000 $;
  • Réfection du chemin des Peupliers : 300 000 $;
  • Prolongement de l’aqueduc sur le Chemin de Price : 785 000 $;
  • Prolongement de l’aqueduc sur l’Avenue du Sanatorium : 220 000 $;
  • La fin des travaux de réfection des rues Desrosiers, Jeanne-Mance et des Oblats : 1 515 000$.

 « Sans les revenus éoliens, qui ont atteint 691 000 $ en 2020, notre marge de manœuvre serait d’autant réduite. Ces revenus nous permettent de mettre de l’avant des projets de développement sans taxer les contribuables », signale le maire Martin Soucy.

Par ailleurs, la dette à long terme atteint au 31 décembre dernier 12 640 100 $, soit 5 778 955 $ de plus qu’à la même période un an plus tôt. Il est important de préciser que près de 50 % de la dette est attribuable à des emprunts pour financer des programmes de subvention du gouvernement provincial. La dette à long terme à la charge de la Ville de Mont-Joli est de 6 476 760 $.

« Au cours des quatre dernières années, on a réussi à investir dans nos infrastructures souterraines et nos immobilisations sans augmenter la dette de la Ville, qui est pour ainsi dire au même niveau qu’en 2017 (6,39 M$). Les droits de mutation ou les revenus générés par la fameuse taxe de bienvenue ont largement dépassé nos prévisions. Il y a eu beaucoup de mouvements dans le marché immobilier en 2020, ce qu’on n’avait pas vu depuis longtemps » se réjouit le maire de la Ville de Mont-Joli.

Source : Service des communications

Partager

Autres articles

  • Les élus municipaux du Bas-Saint-Laurent annoncent leurs priorités

  • Mesures à prendre par grand froid

  • Séance d’information sur l’évaluation foncière

  • Levée de l’avis préventif de faire bouillir l’eau